dessin: Krocui
::: La Pétition :::
Liste des
signataires
le
1er octobre 2003.
Depuis 1991, Le Festival "La Route du Rock"
est indissociable de l'image de Saint Malo. Ayant
débuté dans la ville même, il s'est depuis
1994, installé dans les murs du Fort de St Père
tout proche. Venant de toute les régions de France et d'Europe,
des milliers de personnes convergent l'espace d'un week end pour
découvrir des artistes de musique actuelle mais aussi toute
une région, certains utilisant pour l'occasion les infrastructures
du pays Malouin (transports, hotels, campings, commerces,...).
Le rapprochement du festival avec Saint Malo, engagé en
2002 et poursuivi en 2003 (La Plage, puis le Palais du Grand Large),
arrive au même moment que la décision de la municipalité
de réduire progressivement sa subvention jusqu'à
suppression de celle-ci, ce qui signifie la mort programmée
de ce festival dans cette région. Les fidèles spectateurs
du fort de Saint Père sont attachés à la
tenue de ce festival dans ce lieu unique et par cette pétition
peuvent concrétiser cet attachement pour espérer
infléchir les décisions de la mairie de Saint Malo.
"En
tant que spectateur de la Route du Rock, je déclare soutenir
les organisateurs du festival et demande à la mairie de
Saint Malo de revenir sur sa décision de réduire
progressivement son aide financière au festival afin de
préserver l'existence de cet évènement de
musiques actuelles à Saint Malo".
Cette
pétition est une initiative personnelle émanant du site
non officiel du festival. L'association Rock Tympans, organisatrice
du festival, n'est en aucun cas responsable de celle ci.
le
28 janvier 2004:
la
Mairie de Saint Malo renonce à la diminution de sa subvention.
La pétition est arrétée :-)
MERCI A TOUS !
:::
Dans
Ouest France du jeudi 5 février 2004:
La
Route du rock restera malouine.
Dès la fin de l'année 2003, l'agenda officiel des grands
rendez-vous de 2004 édité par la Ville de Saint-Malo
le laissait entendre...
C'est désormais officiel : la Route du rock ne quittera
pas le Fort Saint-Père ni Saint-Malo, contrairement à
ce qui avait pu être envisagé par la direction du festival
en janvier 2003 lorsque la Ville a décidé de se désengager
financièrement de la manifestation. Il semble que la récente
rencontre entre les représentants du festival et le premier
édile de la Ville ait permis de déboucher sur un accord.
Il devrait en être question lors du conseil municipal de ce
vendredi 6 février. La nouvelle convention entre la collectivité
locale et Rock Tympans, association organisatrice du festival, est
en effet l'un des sujets mis à l'ordre du jour de la réunion.
Suivra, le 27 février, le vote de la délibération
attributive des subventions.
La commune proposera alors aux élus de soutenir la quatorzième
édition du festival à hauteur de 71 649 €...
La subvention reste donc la même que celle versée l'an
passé, contrairement à ce qui était prévu
par le plan de désengagement financier progressif concocté
par la Ville, il y a un an.
Si la municipalité vote la nouvelle convention, la collectivité
versera 35 000 € d'avance sur la subvention 2004 versée
à l'association. Une somme qui correspond tout juste au déficit
de l'édition 2003 du festival qui se déroulera les 13,
14 et 15 août.
:::
NEW
Dans Ouest France du lundi 9 février
2004:
La
Route du rock ne déménagera pas.
La Ville revient sur sa décision de se désengager financièrement
du festivalEn 2003, 14 000 spectateurs avaient participé à
la Route du rock. En 2004, l'équipe organisatrice espère
attirer plus de public en programmant quelques grosses têtes
d'affiche. C'est ce que l'on peut appeler un retournement de situation.
Après avoir annoncé il y a tout juste un an qu'elle
se désengageait financièrement de la Route du rock,
la Ville de Saint-Malo a décidé, vendredi, lors du conseil
municipal, de revenir sur sa décision. Du coup, les organisateurs
abandonnent l'idée de déménager le festival.Subvention
reconduite. C'était il y a tout juste un an. La Ville de Saint-Malo
décidait de se désengager financièrement de la
Route du rock. " Un retrait progressif ", annonçait
à l'époque l'adjointe au maire, en charge de la culture.
Aussitôt dit, aussitôt fait. La subvention accordée
au festival pour l'édition 2003 chutait de 20 000 €. Il
devait en être de même chaque année jusqu'à
la disparition intégrale de l'aide, " la ville de Saint-Malo
n'ayant pas vocation à financer ad vitam aeternam un événement
comme la Route du rock qui n'est pas à proprement parler malouin
". Le maire René Couanau est pourtant revenu sur sa décision
en proposant de voter, vendredi soir, lors du conseil municipal, la
nouvelle convention liant la Ville à l'association Rock Tympans,
organisatrice du festival. Cette convention adoptée par les
élus prévoit de stabiliser le niveau de la subvention
versée à la Route du rock à 71 469 €. En
d'autres termes, l'aide sera cette année la même que
l'an passé. Du coup, le projet de déménagement
envisagé un temps par les organisateurs n'a plus lieu d'être.
L'édition 2004 se déroulera les 13, 14 et 15 août
au fort Saint-Père et à Saint-Malo. Réaction
de François Floret, directeur du festival : " On ne peut
que se féliciter du choix de René Couanau. Il a pris
conscience que les retombées de la manifestation étaient
très importantes pour la ville. "
Réorganisation de Rock Tympans. 35 000 €, c'est le déficit
enregistré lors de l'édition 2003 du festival. Un déficit
qui correspond à une légère baisse de la fréquentation
mais qui est aussi et surtout la conséquence directe "
de la diminution de la subvention versée par la Ville (-20
000 €) et de l'interdiction de vente de tabac sur le site (-15
000 €) ". Pour redresser la barre, Rock Tympans a réorganisé
son équipe. Le programmateur a été licencié
pour raison économique. L'association n'emploie désormais
que deux salariés à l'année.
L'édition 2004 en vue. Pas de changement de format prévu
pour le festival. Il se déroulera encore sur trois jours cet
été. Seule petite incertitude, la reconduction des concerts
sur la plage de Bon-Secours, l'après-midi. Quelques habitants
de l'Intra ont fait savoir qu'ils s'y opposaient. " Pourtant,
aucun débordement n'a été constaté lors
des deux précédentes éditions, rétorque
François Floret. On a réussi à faire découvrir
gratuitement la musique pop et l'électro à des gens
qui ne s'y intéressaient pas. Tout ce que j'espère c'est
que le maire ne sera pas réceptif à ces plaintes qui
me semblent infondées. " Si l'an passé plusieurs
têtes d'affiche avaient annulé leur venue au fort, en
2004, pas question que le scénario se répète.
Les organisateurs ont déjà quatre grosses pointures
en tête. " Il faut tabler sur quelques artistes capables
d'attirer 10 000 personnes dans le fort. Mais la concurrence est rude
avec d'autres festivals européens, avoue François Floret.
Il faut aligner parfois 80 000 € pour décrocher "
le " groupe qui incitera le public à se déplacer.
" Rendez-vous début avril pour la présentation
d'une partie de la programmation.
Lionel CABIOCH.
:::
De
Yann à Gwladys, merci à tous les signataires des 4 coins
de France, d'Europe (Merci tout particulièrement aux Belges),
et d'ailleurs...
Merci
également à tous les webzines ayant rélayé
l'information.
Et
à bientôt sur la.. Route !
A
lire : un article
de Ouest France (5 août 2003) avec une interview de François
Floret, directeur de la Route du Rock, qui résume bien la situation.
Liste
des signataires
:::
10
mars 2004:
Les Siestes Musicales
La
Route du Rock est, on le sait, "sauvée"
depuis quelques semaines grace à la décision de la
Mairie de Saint Malo de ne pas diminuer sa subvention et grace à
votre mobilisation (cf. pétition ci-dessus).
On apprend par le Pays Malouin (hebdo d'info locale à Saint
Malo) que les Siestes Musicales ne seront pas reconduites en 2004,
alors qu'aucun problème ni débordement n'est survenu
l'année dernière (Les Siestes se déroulent
pendant les 3 jours du festival sur une plage de Saint Malo avec
chaque après midi 2 DJ's mixant des morceaux plutot cool).
La Mairie a cette fois cédé face à la pression
d'une association d'habitant de Saint Malo luttant contre le bruit
et tout ce qui peut déranger le cadre de vie de certaines
personnes.
Voici un extrait de l'article en question:
"Les siestes musicales de la Route du Rock figurent aussi
en bonne place dans la liste des récriminations. Ce rendez
vous se déroule, depuis deux ans, plage de Bon Secours durant
le week end du 15 août. La présidente dévoile
que les organisateurs ne seraient plus autorisés, par la
ville, à l'organiser cet été. Information confirmée
par l'adjoint Jean Sauvée".
"Fini les siestes musicales:
Interrogé sur les trois animations qui suscitent des remous
au sein de l'association, Jean Sauvée est très clair.
L'adjoint déclare qu'il «n'y aura plus de siestes musicales
dans l'Intra pour des raisons de sûreté et de sécurité».
De sources policières, on indique que si aucun incident grave
n'a été à déplorer, plusieurs échauffourées
ont eu lieu entre les CRS maîtres nageurs et des jeunes sous
empire alcoolique"
Sur le site de l'asso en question (http://adcim.saintmalo.free.fr/index.htm),
on trouve également cette jolie phrase:
"...Avec comme déjà lan passé
les siestes musicales des DJ de la route du Rock sur la plage Bon
Secours en Août,(convoyage des jeunes « accros »
depuis le fort de Saint Père jusquà la ville
close organisé gratuitement) , lIntra Muros va devenir
le bord de mer le plus branché du littoral de la Manche .
Même les goélands vont être tenus de se mettre
au « Full métal » ."
Si vous souhaitez réagir, et écrire à la Mairie
de Saint Malo pour apporter votre soutien aux Siestes Musicales:
Monsieur le Maire
Hôtel de Ville
BP 147
35408 Saint-Malo
ou
communication@ville-saint-malo.fr
14
mars 2004: ci-dessous, quelques extraits de la réponse
de F. Floret, directeur de la Route du Rock, à la responsable
de cette association:
Objet
: La Route du Rock / Siestes Musicales.
Madame,
Nous venons de découvrir avec surprise larticle paru
dans le Pays Malouin du 04 mars dernier et concernant la manifestation
que nous organisons. Nous avons également parcouru votre
site internet. Nous ne trouvons pas correct de prendre en otages
les élus de Saint-Malo et de désinformer de la sorte
les lecteurs via vos clichés grossiers :
1) Site Internet rubrique " Intra : Bruits et chuchotements
" : Les jeunes " accrocs " (à quoi sil
vous plait?) que vous nimaginez peut-être quavinés,
voire drogués et violents, sont des jeunes entre 18 et 30
ans très calmes et très polis, peut-être vos
propres enfants et sûrement de nombreux jeunes malouins.....
2) Site Internet rubrique " Intra : Bruits et chuchotements
" : Votre défense des deniers publics :
- Les navettes de car ne sont pas mises en place par la mairie mais
une prestation payée par lassociation Rock Tympans
à Tourisme Verney depuis 8 ans ;
- lopération Siestes Musicales est totalement financée
par notre partenaire privé Fnac qui est ravi dassocier
son image à notre organisation, de la mise en place et de
lambiance bon enfant constatée par tous ceux qui étaient
présents.
3) Pays Malouin du 04.03.04 : Le " bruit " : Nous ne vous
autorisons pas à parler de " bruit " pour qualifier
une musique que vous ne voulez sans doute pas essayer de comprendre
;... Lorsquon aime la Musique - comme nous par exemple - on
se doit dêtre curieux et de ne pas imposer ses préférences.
Je crois quil sagit là tout simplement de respect
et dhumilité... Nous sommes particulièrement
ouverts et curieux de découvertes musicales (et pas seulement
au sein des musiques actuelles). A ce propos, évoquant nos
Siestes Musicales, vous écrivez sur votre site Internet que
" même les goélands vont être tenus de se
mettre au " Full métal " ". Pouvez-vous nous
préciser de quel mouvement musical il sagit ? Nous
ne le connaissons pas.
4) Pays Malouin du 04.03.04 : Insécurité : jai
lu avec étonnement quil y aurait eu des échauffourées
entre les CRS de la plage et certains jeunes " sous empire
alcoolique " : Nous avions sur cette plage un effectif denviron
30 personnes afin de sassurer que tout se passe bien, conscients
que des éléments extérieurs à notre
public...pouvaient venir troubler ces 3 après-midi de musiques
" downtempo " (= calmes),.... Aucun de mes responsables
présents sur cette plage na vu le moindre mouvement
dhumeur de qui que ce soit, ou encore de jeunes ivres. De
surcroît, il y avait si besoin, notre personnel de sécurité
24h/24 ; si vraiment une échauffourée éclatait
ou si des jeunes introduisaient de lalcool sur la plage, leur
consigne était dintervenir immédiatement. Là
encore, rien à signaler
Il est facile dessayer
de faire interdire une manifestation sur des clichés et des
mensonges ; pour quelquun de lextérieur (le lecteur
en loccurrence), le portrait brossé peut venir confirmer
des préjugés parfois légitimes. Vos méthodes
sont malhonnêtes et jespère vraiment que les
élus de Saint-Malo et les lecteurs, ne tomberont pas dans
ce panneau....En tout état de cause, il sagit dune
opération qui a lieu une fois dans lannée, sur
3 après-midi de 4h et cela ne nous semble pas mériter
une telle agitation
lundi
5 avril 2004 (Ouest France)
Les siestes musicales menacées
La Route du rock ne comprend pas les réserves des élus
sur la manifestation
Les
festivaliers de la Route du rock pourront-ils assister en août
à des concerts gratuits à Bon-Secours ? Rien n'est
moins sûr. La Ville semble décidée à
mettre un terme aux siestes musicales qui se tenaient depuis deux
ans sur la plage. La réaction de François Floret,
patron de la Route du rock, ne s'est pas fait attendre.
Pour « raisons de sûreté et de sécurité
», la Ville ne souhaite pas que les siestes musicales se déroulent
en août sur la plage de Bon-Secours. Quelle est votre réaction
?
On ne pensait pas que l'existence des siestes musicales serait
remise en question à la veille de la 3e édition. En
janvier, lors d'un rendez-vous avec le maire, René Couanau,
nous avions évoqué cette manifestation. Quelques échos
négatifs de la police lui étaient revenus aux oreilles.
Sans plus. Nous devons rencontrer Jean Sauvée, adjoint au
maire en charge de la sécurité, vendredi, pour discuter
de l'avenir de ces concerts sur la plage.
Pensez-vous que les élus feront marche arrière
?
J'espère que oui. Si on analyse le dossier de manière
pragmatique, je ne vois pas ce qui pourrait s'opposer à ce
que ça se passe cet été sur la plage de Bon-Secours.
Si on me dit que des problèmes de sécurité
se posent et que je les juge véritables, je serais le premier
à dire : On arrête tout. Pour l'instant, je n'ai pas
de raisons de penser que ces problèmes existent.
Selon la police, quelques échauffourées auraient
eu lieu l'an passé entre les CRS maîtres-nageurs et
de jeunes festivaliers éméchés...
Pour moi, l'édition 2003 s'est merveilleusement passée.
Je n'ai jusqu'ici pas entendu parler du moindre problème.
Nous avons trente bénévoles postés en permanence
sur la plage pour surveiller les festivaliers. Ils ont pour consigne
de veiller au respect des règles imposées par la Ville.
S'ils voient éventuellement quelqu'un ouvrir une canette
de bière sur la plage, ils lui sautent dessus pour l'informer
que c'est interdit. En plus des bénévoles, deux vigiles
professionnels peuvent intervenir si vraiment quelqu'un refuse d'obtempérer.
Si les siestes musicales ne pouvaient avoir lieu cet été
à Bon-Secours, la manifestation s'installerait-elle ailleurs
?
Pour l'instant, je n'ai pas réfléchi à
l'éventualité d'un déménagement. L'endroit
est idéal, en plein coeur de Saint-Malo. Les retombées
pour les commerces de l'intra-muros sont évidentes. C'est
visiblement ce que pensait la municipalité il y a deux ans.
Je n'oublie pas que c'est M. Sauvée qui a proposé
ce lieu pour installer la manifestation. On espère que l'adjoint
chargé de la sécurité ne cédera pas
aux fantasmes de certains. Je veux parler des personnes qui se seraient
plaintes et qui, pour moi, s'apparentent à des fantômes,
car elles ne se sont pour l'instant pas manifestées auprès
de nous, organisateurs, pour exprimer leurs doléances.
Ces « fantômes » pourraient être les
membres de l'Association pour le développement concerté
de l'intra-muros (Adcim) qui, sur leur site Internet, ne mâchent
pas leurs mots concernant les siestes musicales...
C'est vrai. Les membres de l'Adcim n'hésitent pas à
taxer notre public de jeunes « accrocs ». Je voudrais
bien savoir à quoi ? Ces jeunes que l'association imagine
avinés, voire drogués et violents ont entre 18 et
30 ans, sont calmes et polis. Ils ne sont en aucun cas là
pour se défouler de manière irresponsable. Je ne permets
à personne d'insulter notre public. C'est ce que je dis en
substance à Marie-Charlotte Lescault, présidente de
l'Adcim, dans une lettre que je viens de lui adresser.
Dans cette lettre, vous vous offusquez que l'Adcim assimile les
siestes musicales à du « bruit »...
A sa décharge, j'admets que lors de l'édition
2003 des siestes musicales, certains artistes qui mixaient sur la
plage n'ont pas joué le jeu de diffuser de la musique «
down tempo » (calme). Deux DJ's se sont lâchés
et ont confondu Saint-Malo avec Ibiza. C'est quelque chose que l'on
va corriger en imposant un cadre plus strict aux artistes, histoire
que les gens ne se sentent pas agressés par la musique. On
ne pourra bien sûr le faire que si l'édition 2004 est
autorisée par la Ville.
Propos
recueillis par Lionel CABIOCH.
Jeudi
13 mai 2004 (Ouest France):
Les Siestes musicales déménagent
Elles quittent Bon-Secours pour la plage de la Galère
Hier soir, Jean Sauvée, adjoint au maire en charge de la
sécurité, a mis un point final à la nouvelle
convention liant la Route du Rock à la Ville. Le document
prévoit le déménagement des Siestes musicales
organisées depuis deux ans au mois d'août à
Bon-Secours.
Les plaintes du voisinage ont été entendues. Les organisateurs
de la Route du rock devront déménager leurs Siestes
musicales organisées depuis deux ans à Bon-Secours.
La solution n'a pas été facile à trouver. Finalement,
c'est sur la plage située au pied du parking de la Galère,
entre la descente des Bains-chauds et la porte Saint-Thomas, que
se tiendront les concerts en août prochain. « C'est
une solution qui devrait satisfaire tout le monde », estime
Jean Sauvée, adjoint au maire en charge de la sécurité.
Hier, le projet de nouvelle convention liant la Route du rock à
la Ville est arrivé pour signature sur le bureau du maire
René Couanau.
Il devrait selon toute vraisemblance être accepté par
l'édile « car le nouveau lieu semble correspondre aux
attentes des différentes parties. Cette plage se situe en
effet en dehors des murs. Elle est assez éloignée
des débits de boisson et des habitations, limitant ainsi
d'éventuelles nuisances sonores. De quoi permettre à
la manifestation de se dérouler dans de bonnes conditions.
»
Lionel CABIOCH.
|